Vos questions

  • Combien coûtent des obsèques ?

Le prix des obsèques dépend des différentes prises en charge que vous désirez : transport du corps, soins, cérémonie religieuse, choix du cercueil, travaux de cimetière, etc. Vous avez la possibilité de sélectionner uniquement les prestations qui vous sont nécessaires bien que certaines soient obligatoires (véhicule agréé, cercueil), c’est pour cela que nous vous proposons de vous établir un devis gratuit.


  • Quelles sont les possibilités de paiement ?

Nous avons la possibilité de prélever une partie des frais d’obsèques sur le compte du défunt, à hauteur de 3050 €, certaine mutuelles offrent un capital décès, nous nous renseignerons avec vous de cette possibilité. Pour une personne encore en activité, la sécurité sociale verse une aide pour les obsèques.


  • Que faire lorsque le décès arrive à domicile ?

Vous devez faire venir un médecin afin de constater le décès, après deux possibilités s’offrent à vous : soit faire garder le défunt à domicile ou soit le faire transférer dans un funérarium. Dans les deux cas vous devez passer voir les pompes funèbres pour organiser l’une ou l’autre des possibilités ainsi que les obsèques.


  • Combien de temps avons-nous pour transférer le défunt au funérarium ou le ramener à domicile ?

Le transport sans cercueil se fait dans un délai de 48 heures après le constat de décès. Nous vous conseillons de nous contacter rapidement pour organiser ce transfert, le choix des obsèques peut se faire après, plus au calme.


  • Quels documents doit-on apporter aux pompes funèbres ?

– Le certificat du médecin (si le décès a eu lieu à domicile).
– La carte de mutuelle.
– Un RIB (s’il y a un prélèvement sur le compte).
– Le livret de famille du défunt.
– S’il y a un achat de concession : un justificatif de domicile récent (facture EDF, facture téléphonique etc.…).
– En cas d’inhumation: le titre de concession de la tombe.


  • Dans quels délais faut-il inhumer le défunt ?

La Loi Française ordonne que l’inhumation ait lieu au plus tard dans les 6 jours après le décès si celui-ci s’est produit en France et 6 jours au plus après l’entrée du corps sur le territoire national si le décès a lieu à l’étranger ou dans un territoire d’outre-mer (Art. R 361-13 du Code des communes). Les dimanches et jours fériés ne sont pas compris dans ces délais. Des dérogations peuvent toutefois être accordées par le préfet (nous nous occupons de ces démarches).


  • Peut-on fabriquer son cercueil ?

Oui, mais il doit répondre aux normes légales Françaises et de l’Union Européenne en termes d’épaisseur, d’essence de bois utilisée et d’étanchéité. Lors de la crémation, le cercueil est-il également brûlé ? Les textes en vigueur en France rendent le cercueil obligatoire y compris pour la crémation. Le cercueil est mis à la flamme et consumé avec le corps.

A savoir : la loi impose qu’il y ait un cercueil, même lors d’une crémation.


  • Que peut-on faire des cendres après crémation ?

Depuis la loi de janvier 2008, les urnes funéraires ne peuvent plus être gardées à domicile, il vous reste néanmoins plusieurs possibilités :

– La dispersion des cendres au jardin du souvenir situé dans les cimetière
– La dispersion des cendres dans la nature (une forêt par exemple) avec l’autorisation de la mairie du lieu de naissance de la personne décédée et non la mairie concernée par la dispersion. La dispersion des  cendres ne peut se faire dans le lieu de son choix, c’est une action strictement encadrée par la Loi. Il est par exemple interdit d’effectuer la dispersion sur une route ou encore dans son propre jardin. Il est néanmoins possible de transporter une urne dans un autre pays. Il faut simplement présenter une autorisation de la Préfecture de Police et l’acte de décès en question.
– L’inhumation de l’urne dans une sépulture.
– La dépose de l’urne au columbarium.


  • Dans quelle ville peut-on inhumer le défunt ?

Toute personne domiciliée dans une commune peut être inhumée dans le cimetière de cette commune, quel que soit le lieu de son décès. Toute personne décédée sur le territoire d’une commune peut être inhumée dans le cimetière de cette commune, quel que soit son domicile. Toute personne bénéficiant d’une concession de famille peut y être inhumée, quel que soit son domicile ou le lieu de son décès.


  • Qui prend en charge les obsèques des indigents ou des personnes totalement isolées ?

Dans tous les cas, et quelle que soit la dimension de la commune, c’est elle qui organise la prise en charge des indigents. Pour les personnes isolées, dépositaires d’un avoir sur un compte bancaire ou en dépôt dans un établissement de santé, un élu, un chef d’établissements de soins, un gérant de tutelle, un ami peut prendre des dispositions en respectant les volontés exprimées par le défunt. Dans tous les cas, la fiscalité limite cette prise en charge à un montant de 3050 euros.


  • Pourquoi le chrysanthème est-il la fleur de la Toussaint ?

Anciennement, on allumait une bougie sur la tombe des défunts. Au milieu du XIXème siècle, les fleurs ont remplacé les bougies. De nos jours, le chrysanthème est partout présent le 1er novembre. Au japon, d’où il vient, il est symbole du plaisir et du bonheur. Signe d’immortalité, il résiste très bien au froid et ne réclame que peu de soins.